Pour continuer à faire du vélo sans se gaver de particules fines, CONOUCO propose une solution.

Du lin bio, pour doper la planète à l’air, à l’eau et à la terre pure !

Comment ça fonctionne : en respectant un processus de fabrication le plus écologique possible. Garanti par le label le plus exigeant en prêt à porter : GOTS (Global Organic Textile Standard).

Ce label contrôle chaque étape de la production (du champ au vêtement) au niveau social et environnemental. Les tissus CONOUCO sont labellisés GOTS.

À l’occasion du tour de France CONOUCO met en jeu le maillot Blanc !

Pour le coureur le plus blanc du tour.

En envoyant une photos de vous avec un vélo, vous pourrez gagner une chemise CONOUCO.

Les plus belles photos seront soumises à un vote sur les réseaux sociaux.

Le/la gagnant.e aura le privilège de faire partiede l’équipe de France maillot blanc.

Rappel : avec le code Newsite18 profitez des frais de ports offerts jusqu’au 15 juillet.

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Le champ de lin fournit la seul matière première textile Française à pouvoir être transformée industriellement, de façon pérenne et à 100% en Europe.

Le lin de France représente 80% du lin textile mondial ! Malheureusement 90% de cette production est transformée en Chine…

Le lin représente 1% de la production de vêtements dans le monde et le lin bio 1/1000.

La culture du lin textile se pratique principalement en Normandie et Seine-et-Marne, mais aussi en Belgique et aux Pays-Bas.

L’industrie textile, la seconde la plus polluante au monde, utilise pour la culture beaucoup d’eau, laquelle est mélangée aux engrais, pesticides et autres joyeusetés. L’eau ruisselle et s’immisce dans la terre, parfois jusqu’aux nappes phréatiques. L’eau s’évapore et avec elle son macérat pétrochimique. Les conséquences ne se faisant ressentir que des années plus tard.

Dans le champ de lin se cache un enjeu bien plus grand. Les fleurs de lin garantissent des conditions de culture et de récolte respectant tous les acteurs.

Les agriculteurs du lin CONOUCO, travaillent souvent en famille et portent une attention particulière à leur principal outil de travail : la terre ! Ils en prennent soin, ils la bichonnent, et elle le leur rend bien.

Le lin bleu bio ne reçoit aucun traitement pétrochimique lors de sa culture. Ce qui oblige à une préparation méticuleuse de la terre afin d’obtenir les plus beaux lins. Cette magnifique plante se cultive une fois tous les sept ans sur une parcelle. En organisant les récoltes en amont la terre est prête à temps pour que le lin s’y épanouisse.

Les agriculteurs travaillent la « fibre de lin » dans un environnement sain. Préservant la terre, l’air et les cours d’eau.

CONOUCO apporte une solution concrète !
Portez le futur dès aujourd’hui.

Sources :

Lin en Chanvre bio Normandie (association qui centralise les démarches pour le développement du lin bio en Europe) : linetchanvrebio.org

CELC : http://www.europeanflax.com/fre/lin/19-la-carte-du-lin__

Rapport du GIEC : http://leclimatchange.fr/questions-reponses/

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Son impact écologique

Le lin biologique est garanti sans pesticides ni angrais. Seul l’eau de pluie lui suffit. Il préserve l’air, l’eau et la terre.

L’extraction des fibres (le rouissage) se fait de façon naturelle, grâce aux bactéries du sol, à la pluie, sans autre besoin en énergie que celle de la lumière.
De plus, après ramassage, la terre est propre et sans déchets laissés au sol.

Durant toutes les opérations industrielles (teillage, peignage, filage, tissage), l’activité est mécanique et non polluante.

Ses propriétés naturelles

Matière extrêmement résistante, le lin a une durée de vie très importante. Lorsque le tissu est de qualité, il est doux et confortable.

Le lin a des propriétés thermorégulatrices. Il maintient au chaud en hiver et garde au frais en été.

C’est une matière hypoallergénique et antibactérienne et ne provoque pas d’irritations. Il a été prouvé scientifiquement qu’appliquer du tissu de lin naturel sur soi accélèrent la guérison de certaines maladies de peau.

Le lin est agréable à porter. Les vêtements en lin sont soyeux et offrent une sensation de bien-être et de fraîcheur de par sa légèreté.

Son raffinement et son élégance

Depuis toujours, le lin est symbole d’élégance et de distinction. Le lin se prête à tous les styles, tenues de ville ou de soirée le lin s’adapte facilement. Les grands couturiers l’apprécient tout particulièrement et l’incluent d’ailleurs souvent dans leurs collections. Chez CONOUCO, nous avons d’ailleurs décidé d’utiliser le lin bio car nous ne souhaitions pas seulement faire des vêtements éthiques mais aussi proposer des vêtements esthétiques et agréable à porter.

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• Pour conserver toutes les qualités de la fibre naturelle, nous recommandons un doux lavage à la main.
• En machine : choisissez un cycle de lavage pour textile délicat. Température maximum 30°C.
• Utilisez un savon doux et évitez tout produit de blanchiment chloré car il peut endommager les fibres.
• Ne pas essorer en machine ! Vous risqueriez de détériorer votre vêtement. L’idéal est de le sortir de la machine et de l’essorer à la main en douceur, puis de bien tendre le tissu à deux mains. Ceci enlève une bonne partie des plis. Bien remplir le tambour lors du lavage.
• Séchage : Pour les tops, séchez à plat pour ne pas déformer la maille. La chemise, le pantalon et la jupe peuvent être mis à sécher directement sur un cintre.
• Repassage à la vapeur lorsque le linge est encore légèrement humide (de préférence sur la face interne du tissu). Pour le tissu noir, utilisez un torchon humide entre le fer et le vêtement afin d’éviter qu’il ne patine.

En cas de taches:

• Encre : trempez le linge dans un peu de lait ou dans une mixture de savon blanc et d’ammoniac puis frottez la tache.
• Sang : rincez immédiatement à l’eau froide.
• Fruits, café, thé et chocolat : frottez à l’alcool, au vinaigre blanc.
• Vin rouge : frottez immédiatement à l’eau pétillante.

Si les taches ne disparaissaient pas :

Vous pouvez faire tremper le linge (blanc et couleurs) avec de la lessive ou dissoudre 100g de percarbonate/bicarbonate de soude dans un peu d’eau chaude (blanc uniquement). Une fois la poudre dissoute, ajoutez de l’eau afin d’atteindre environ six litres de liquide de trempage. Laissez tremper pendant une heure.

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Après la culture du lin, la transformation se fait en 5 étapes:

1. Le rouissage

Les tiges de lin sont étalées sur le terrain par le liniculteur en longues nappes. Au contact du sol et grâce à la rosée du matin ou aux pluies de l’été, des micro-organismes (champignons et bactéries) vont s’attaquer à la tige pour séparer les fibres de la paille puis vont s’attaquer aux substances appelées ciment qui relient chaque fibre entre elles. Cette opération naturelle s’appelle le rouissage. Le liniculteur va régulièrement surveiller pour vérifier que cette opération se passe bien. Il sera éventuellement amené à retourner les nappes de lin avec une machine pour obtenir un rouissage homogène. C’est important pour obtenir des fibres fines et solides pour créer par la suite de beaux vêtements. Une fois cette opération terminée, le liniculteur fait de grosses balles rondes et les livre à l’usine.

2. Le teillage

Le lin livré en balles par le liniculteur va tout d’abord être teillé. Le teillage est une opération mécanique qui consiste dans un premier temps à séparer les graines des pailles.

Dans un deuxième temps, le teillage permet de séparer les fibres de la paille et les fibres entre elles. Pour cette dernière opération, la paille passe d’abord dans des cylindres cannelés pour la « casser » sans abîmer les fibres. Puis des grands peignes vont permettre de séparer ces morceaux de paille appelés anas et la fibre que l’on appelle filasse quand les fibres sont longues et étoupes quand les fibres sont courtes.

3. Le peignage

La filasse issue du teillage est d’abord peignée avec des peignes de plus en plus fins. Cette opération permet d’éliminer tous les petits morceaux de paille restant et surtout de séparer petit à petit, toutes les fibres entre elles. On obtient ainsi de véritables cheveux d’ange, des fibres fines bien démêlées presque soyeuses. Ces fibres peignées sont rassemblées pour constituer un long ruban continu. Ce ruban est à nouveau étiré pour obtenir une faible épaisseur que l’on tord légèrement pour renforcer sa solidité. C’est l’étirage et le ruban devient alors une mèche.

4. La filature

Pour filer le lin, il existe 2 procédés bien distincts :

– la filature au mouillé utilise les fibres longues qui sont passées au peignage. Dans la filature au mouillé, la mèche est trempée dans de l’eau à 60 ou 70° C pour rendre la fibre plus souple et la ramollir. Les fibres élémentaires sont ensuite tordues et permettent de réaliser des fils fins et homogènes. Ces fils de haute qualité sont souvent réservés à l’habillement et au linge de maison.

– la filature au sec utilise souvent les étoupes qui ont été aussi peignées et étirées. Dans ce cas, les rubans sont filés sans passer dans l’eau. Il en résulte des fils plus rustiques et plus épais. Ces fils sont généralement réservés aux tissus pour la décoration ou pour des usages techniques.

5. Le tissage

Le tissage s’effectue sur les métiers à tisser normaux. Sur ceux-ci, les fils sont entrecroisés un par un, fils de chaîne (longueur) et fils de trame (largeur). On peut ainsi obtenir des tissus pur lin ou des mélanges. Par exemple, quand on parle de « métis », le fil de chaîne est en coton, le fil de trame en lin.

6. Confection

La confection est réalisé chez Héritage Confection en Vendée dans leur atelier à Belle ville sur Vie.

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